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somewherexnow

10 juin 2009

C'est la fin...

« De ce dernier souffle qui me guete, je relis le livre de ma vie. Je ne verse pas de larmes, j'ai accomplis dans ma vie tant de choses qu'il ne me reste plus qu'à partir. Je ne veux pas de vos pleurs car peu importe ou la mort mentrainera, je veux garder de vous le plus beau souvenir qui soit, votre sourir. Je ne crois pas en Dieu, je n'y ai jamais cru d'ailleur, ce concept inventer par l'imaginaire humain pour trouver des réponse à ses questions ne ma jamais vraiment interressé. On ma dis souvent que j'irais brûler en enfer, je n'y crois pas non plus. Autour de moi on a dis que ma vie avait été débauche et plasir, et bien oui! J'ai vécue ma vie tel que je l'entendais, loin de tout ces concepts religieux et moralisateur, loin du jugement des autres. Je pars bientôt, mais de ce dernier souffle qui me guete, je pars l'être en paix, et je me dis que je reviendrais surement un jours... Un jours. »
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5 mai 2009

Les mots.

Je ne veux plus écrire, ma plume n'est plus ce qu'elle était, et je n'écrirais plus pour simplement dire « Bonjour, ça va » On dit que les mots son plus fort que les actes, et il est. Mais sans acte, il ne peut y avoir de paroles, et sans mot un geste devient si anodin qu'on le confonds avec un réflexe humain. Je n'écrirais plus si les mots se confondent aux actes, et si les geste deviennent réflexe, il ni a plus rien a écrire. J'ai déjà écris pour le plaisir de la chose, pour faire savoir que j'avais une parole et des mots, des mots. Simple, il furent entendue un jours, mais par qui? Pour qui avais-je le plaisir d'écrire? Simplement pour moi, ou pour les autres, ceux qui savaient que j'avais des mots qui voulaient dire un tant soit peu de choses? J'ai déjà écris pour me faire entendre, pour montrer que je pouvais avoir des mots qui disaient. Mais aujourd'hui, mon encre ne coulent plus pour moi, mes mots s'écrivent d'eux même, pour ceux qui on lus et qui liront. Mais ces mots ont laissé un goût amère à ma plume, qui elle est fatigué d'écrire pour ceux qui ne liront pas.
2 avril 2009

Mon amoureux

Mon amoureux c'est le plus fort, le plus intelligent et le plus beau. Mon amoureux c'est le meilleur amoureux de la terre. Mon amoureux il est un peu comme moi, il se fache vite, et des fois on se chicane pour ca. Mon amoureux j'ai faillit le perdre beaucoup de fois, a cause de moi, mais je l'aime tellement que je l'ai ratrappé juste a temps. Mon amoureux me dis des fois qu'il me déteste, mais je ne le crois pas, parce que souvent il me dis qu'il m'aime. Des fois je dis à mon amoureux que je ne l'aime plus, mais ce n'est pas vrai, c'est que des fois je suis trop fâché et j'ai juste envie de dire à quelqu'un que je ne l'aime pas, et ca tombe sur lui. Mon amoureux c'est le plus fort, le plus intelligent et le plus beaux. Mon amoureux, c'est la personne parfaite à mes yeux, et je l'aime, plus que tout.
2 mars 2009

L'amour.

Aujourd'hui, l'ineffaçable ne se remplace pas; L'incroyable peu encore arriver; L'inoubliable s'oublie. Aimer n'est plus chose facile dans le monde ou nous vivons, j'aime croire qu'il en vaut encore la peine d'essayer; Il en vaut! J'ose imaginer ma vie sans le bonheur d'un câlin, d'un bisou: Je n'y peu rien, c'est impossible. À quoi bon rêver quand on peu agir; À quoi bon parler quand un simple baiser peu changer votre vie. Depuis bientôt cinq mois, il fait partit de ma vie. Cette vie que je croyais inchangeable, se transforme. Mon avenir est loin d'être tracé au stylo bleu, mais j'aime bien mettre en scène un vie ou l'amour existe. Et l'amour d'un seul être me fait voir une vie plus en couleur qu'elle ne l'est vraiment. J'ai découvert l'amour par bribe de bonheur, et aujourd'hui, j'ose affirmer qu'il est bien là, pas trop loin de moi.
5 février 2009

Petite leçon d'amour.

Aujourd'hui, comment se briser le coeur en mille. Leçon No.1: Ne rien dire, peut importe ce qu'il fait. Qu'importe qu'il est dans l'idée de ce faire tatouer le nom d'une autre fille, vous ne devrez rien dire, même pas votre avis. Il sera aussi de mise de ne pas détester la dite intéressée car elle compte beaucoup pour lui, surtout ne pas prendre en compte la durée de leur relation amicale, cela pourrait devenir un sujet ambigu. Vous ne devrez donc en aucun cas passer commentaires sur ses actes, même s'ils vous semblent injuste a votre égard, cela pourrait vous faire passer pour un boulet dans sa vie et des commentaire tel que « Tu ne me laisse pas vivre ma vie » ou encore « J'en ai asser de vivre la vie des autre » vous serons adressé. Prochaine leçon: Soyez la méchante du couple et tout ira pour le mieux.
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28 janvier 2009

Coupable d'être humain.

Aujourd'hui, je suis coupable d’un crime qui m’accuse d’être humain, je suis coupable d’un crime qui m’accuse de vivre et d’être heureuse. Je prends chaque jugements comme un coup de poing qu’on m’assaille sans but profond, comme la violence gratuite dans les films. J’ai 17 ans, très et parfois trop bientôt 18 ans, mais suis-je prête à vivre cette vie que je reproche aux adultes? Suis-je prête à concevoir ma vie dans ce nouveau monde; Ne plus être, ne vivre que pour la pensée logique et structuré; Ne plus voir que le mal dans chaque chose bien avant le bonheur de la vie? Suis-je rendue au point d’être humain? Mais quand l’humain devient un passage entre l’enfance et la vie, n’y a-t-il plus d’humanisme dans cette transition? J’aime la vie d’autant qu’il y en ait une, une vrai, pas celle qu’on nous dépeint sans broncher; Une vie de luxe et de paresse, ou tout devient si facile, si anodins; Une vie qu’on nous vente si belle, mais qui devient si difficile quand vient le temps d’être humain. D’être humain… L’être en soit… Si l’humain, en tant qu’être n’est plus ce qu’on pourrait s’attendre de lui, que devient-il? Une image que l’on projette, sans se demander qui ni quoi, mais combien. Combien est l’être : Combien vaut-il? Combien compte-t-il? Combien fait-il? Tout devient si facile quand la question des chiffres entre en question; On ne demande plus : Qu’aime-t-il? Qui aime-t-il? Comment fait-il? L’être est devenu un chiffre singulier, et quand il vit, il est coupable d’être humain.
19 janvier 2009

Une touche de bonheur.

Aujourd'hui, j'envoie paître la haine à l'autre bout de ma tête, caché dans un coin ou je peux l'oublier pour quelques heures. J'imagine qu'on ne peut oublier sans que ça fasse vraiment mal, mais en cette journée de neige fabuleuse j'ai eu envie de m'amuser et d'aimer. À le regarder danser ses sourires, j'ai eu envie de faire de même, et puis la joie n'en fût qu'étrange mais présente. J'ai envie de comprendre l'amour comme cette journée fabuleuse, à être dans ses bras et à ne plus rien voir que le tout que nous formons. J'ose croire que le mal partira de nos vie tôt ou tard, qu'il oubliera notre cocon d'amour pour que nous puissions revoir enfin ce ciel rose des tout début. Mais je le vois qui s'éloigne, jours après jours, il a compris que nous ficher la paix était la meilleur des idées. Et lui... Lui, l'homme qui hante mes rêves les plus beaux, les plus savoureux, depuis qu'il est devenu, par un simple et heureux hasard de la vie, l'homme de ma vie, l'amour n'est plus: il vit. J'apprend à vivre l'amour de l'homme qui m'aime, j'apprends à être. Un amour que je n'oublie pas jours après jours, malgré la haine qui nous surprend parfois. Quand je vois dans ses yeux, moi être plus que ce que j'ambitionnais d'être, j'aime être. Même si l'amour ne sera jamais que nos sentiments échoué, je joue avec lui, le modelant au rythme des envies et des émotions. L'homme que j'aime, l'homme de ma vie c'est lui.
15 janvier 2009

Sa mort en est le seul remède.

Aujourd'hui, je me rends compte qu'un sentiment étrange ne doit jamais être pris pour acquis. Une nuit passé à me retourner et détourner, ne trouvant le sommeil nul part: Je sens que quelque chose ne va pas, mais quoi, mais quoi? Encore une heure à me tourner les idées d'un coté et l'autre de la tête sans comprendre ce mal étrange qui envahis mon coeur au gré des secondes qui passent. J'imagine les pire scénarios. Puis les heures passent; Pourquoi ne pas lui téléphoner, simplement pour rassurer ma tête et mon coeur? Mais rien, mis a part une promesse de réveil vers les 9:30... Étrange. Promesse tenue, mais nouvelle annoncé: L'Autre, encore cette garce qui vient mettre une tache sur une journée si bien entamé, ne se gênant pas pour incruster ce cocon d'amour décide d'emprunter mon chevalier pour la nuit, ayant besoin de parler. Je me peine à imaginer quelqu'un ayant si peu de respect pour autrui, ne se prenant pas pour n'importe qui, peut-être pour la reine de son coeur. Mais il devient évident qu'elle n'est qu'une ombre de passage pour assombrir mon coeur et par le fait même mes pensées les plus subtiles. J'ose me faire un théâtre, l'Autre en est le personnage principal, et d'une scène à l'autre je la fait souffrir, puis plus elle gémit, plus ma joie est grande. Je vois dans ses yeux la peur, la crainte de l'inconnu... Enfin cette scène finale, ou toutes ses souffrance s'achève dans la jouissance et l'extase de la mort. Je me noie de l'armes, n'ayant plus rien pour me supporter, n'ayant que ma peine pour me subsister. Mais il est là, essayant du plus fort de son amour à me consoler, me disant que je suis son coeur et ses pensées. Il sait me prendre dans ses bras comme personne ne l'a fait auparavant, mais tout au fond de moi, son visage d'infâme sorcière mis sur notre chemin pour détruire notre amour, hante mon âme comme jamais quelqu'un n'a sus le faire avant. Je t'ai; Je t'aime; Je te garde... Même si une ombre maléfique est tombé sur notre ciel qui fût si rose un jours.
14 janvier 2009

L'histoire ne se terminera jamais...

Un jour elle est née, puis elle a vécue et quand elle en a eu l'âge, elle a vue que la vie n'était pas aussi belle que ce qu'on lui avait dit. La triste réalité d'une vie commune a chaque être humains. Aujourd'hui, j'en suis rendue au point ou il faut que je me cache pour écrire, car les yeux de ceux qui m'entoure sont trop vicieux et bafoués pour comprendre mes mots. Aujourd'hui, il n'y a plus que moi dans mon univers, un seul être unique en tout point, qui ne sais plus quoi penser du monde et de la vie. J'aime jouer à des jeux, les jeux de la vie. L'amour est en tout point une chose exécrable, quand, dans les yeux de celui qui partage mes sentiments, je parviens à voir la chose qui fait mal à l'âme; Le goût de voir si ailleurs ce ne serais pas plus beau, plus magique, plus "pas comme moi". J'ai peur de ce que la vie m'apportera, quand elle s'acharne à vous jouer des tours; Des blagues déplacés et sans but profonds, outre celui de me faire mal. J'aimerais une seconde disparaître, simplement pour faire voir a ceux qui partage ma vie, un plus particulièrement, que je ne suis pas juste "Elle." mais un être humain, humain. L'autre c'est pointé le bout du nez il y a à peine deux semaines et déjà elle envahis mon cocons d'amour. Mon chéri ne semble pas voir de mal dans tout ça, il me dit qu'il n'y a rien là, qu'elle n'est qu'une amie. J'aimerais bien lui faire comprendre que pour moi c'est ce qui gâche mes journée, quand je le vois lui parler, avoir du plaisir et moi dans mon coin je ne dis rien, je dois me taire car tout ça est "normal". Il passe du temps ensemble, il m'as mentis pour elle, je ne l'aime tout simplement pas. Juste à la pensée qu'elle sera avec lui à un moment ou à un autre, me donne le goût de sa mort. Et il y a lui, l'homme que j'aime... Mais ce sera pour une autre fois.
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